lundi 15 décembre 2014

Cinéma White God (anagramme de Dog) : un film incontournable.

White God (critiques Télérama): je ne dis pas cela souvent qu'un film est incontournable. Je n'avais pas entendu grand chose sur ce film. Certaines scènes sont cruelles mais très bien filmées hors champ avec seulement la bande son, mais surtout comme pour Incendies, restez jusqu'à la fin...
C'est tellement beau fort et avec un suspense non pas insoutenable mais palpitant on reste suspendu on attend que le film ne se termine jamais.... Il se démêle sans aucune démagogie. Bien sûr j'ai pensé à d'autres films au livre Matin brun, mais j'ai écarquillé les yeux et aussi regardé la bouche ouverte. Tellement exacerbée sensiblement, que j'ai changé de place, je ne supportais pas la tiédeur immobile, de ma voisine inconnue.
MERCI, pour les relations entre tous ces personnages, la jeune fille et son chien mais aussi la jeune fille et son père, la jeune fille et un ami de la classe de musique, la jeune fille et son maître de musique, chef d'orchestre, relations qui se transforment. J'ai lu dans plusieurs papiers que la fête n'était pas réussie, à l'écran, vous en connaissez des fêtes réussies quand adolescente on se retrouve avec nos ainés, dans la vie ?


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