jeudi 4 octobre 2007

FILM : CEUX QUI RESTENT ; Lucernaire : les places sont chères ? Nuit Blanche et DELANOE... À la Colline...Le match de foot que j'ai vu. JPG. Chocolat

au cinéma





Je vous annonce les titres là car je suis pressée et je vous parlerai de ce film après lequel je coure et qui ne se joue plus que dans une salle : Ceux qui restent d'Anne le Ny(voir site association du Conservatoire) pour retrouver tous les noms les anciens élèves les classes, pour les bons plans faut faire partir de l'assos.
Donc hier en fin d'après-midi, jeudi 4 octobre, j'ai vu ce film dans un vrai cinéma indépendant : Les MONTPARNOS, j'ai payé la place tarif plein : 9,50 €. Je n'ai aucun regret car c'est un film des plus finement sensibles et émouvant que j'ai vu. C'est très bien joué filmé. On croit savoir où l'on vous emmène et ce n'est pas du tout cela.
Le seul regret que j'ai c'est de ne pas y être allée avec mon Ami, l'homme de ma vie, car c'est aussi une femme qui réalise et qui parle au cinéma, des hommes, avec un tel talent... oui car ce sont des petites choses subtiles, un pointillisme, du cinéma impressionniste, rien à voir avec la peinture, quoique ! Bonnard(un de mes peintres préférés) Renoir c'est pas seulement joli...

Il y a du concret aucun réalisme mais par le montage on s'y croit, on a aussi l'impression que c'est tourné dans une maison qu'on connait et que cet hôpital où ils se rendent chaque jour on ira où on y est déjà allé...

Quelquefois on rit, mais quelquefois et vraiment, comme cela, comme quelquefois dans la vie.
Voilà comment montrer la vie, ses drames, le bonheur, les relations de couples de famille, les non-dits, les dits, l'incompréhension entre les hommes et les femmes et la grande complémentarité qu'ils peuvent avoir... Comment aussi parler de la maladie qui est derrière les portes fermées comment montrer les différences de réaction comment, comment rester civilisé et survivre en attendant de revivre différents ou pas.

Comment rester élégants, demander à Anne Le Ny appeler Vincent Lindon, Emmanuelle Devos, Grégoire Oestermann, l'actrice Anne le Ny, Christine Murillo une excellente jeune comédienne Yeelem Jappain, l'adolescente... et puis d'autres rôles moindres quelques enfants un chien dans un plan de banlieue où l'on vit : bonheur possible, avoir une maison sans voiture(et quelle maison !) Champigny.

C'est juste que ce film m'a touché exactement au même endroit que Sur la route Madison. Pour la fin aussi c'est tellement exceptionnel les fins qu'on n'oublient pas.



C'est la même classe naturelle Madame Le Ny à la française que Monsieur Eastwood, à l'américaine. Ils savent déjà filmer et jouer, ils sont distants et proches de tout et ces décalages de focales hypnotisent. Au début je le redis on se laisse balader et peu à peu on devient captifs. Et plus ça va plus on s'enfonce à tout retenir comme certaines chansons qui vous font du bien qui vous seront utiles toute votre vie plus ou moins longue...
Courez-y vite même si c'est insupportable que ce soit si cher, le cinoche... Mais dans ce cinéma ou la séance commence sur le film, on se sent sortir aller dans une vraie salle de cinéma, on est accueilli, les fauteuis sont rouges, et c'est comme au XXème siècle... mélancolie rime seulement avec nostalgie.
Ah ! juste une petite note sur la photo, il y a des plans vus du dessus que j'aime vraiment : au début, au milieu du film... je ne vous dis pas quoi, je ne vous en dis pas plus je vous dis seulement que ça se joue dans un seul cinéma. Déjà !
Et même si ce n'est pas pareil au moins ne le ratez pas quand il sortira en DVD, promis ?!

Quel feu d'artifice toutes ces nuances de Jeu.

Emmanuelle Devos est une comédienne singulière, vous verrez comme elle enverra balader toutes ces comédiennes que je ne citerai pas et qui ont un jeu seulement intellectuel.


Le match que j'ai aimé, c'est Lyon contre les Glasgow Rangers, Lyon qui a joué et perdu et ils m'ont rappelés comment je vis et je travaille : sans marquer sans conclure, pour la beauté du jeu, pour l'esprit d'équipe....
- c'est tout ce que tu as à dire sur le match, tu ferais mieux d'éviter !
- mais j'évite de dire n'importe quoi...

au théâtre
  • et une autre au Lucernaire : ILS HABITENT LA GOUTTE D'OR
    Texte de Laurence Février
    Avec: A Laurence Février, Martine Maximin, Charlie Nelson

    Trois personnes, trois existences singulières : la femme politique, l'Africaine, le marchand de journaux vivent à la Goutte d'or, ce quartier dit « sensible » qui révèle avec violence les contradictions de notre société.
    Laurence Février est allée à la rencontre de ces habitants, elle les a interrogés, puis elle a mis en scène des comédiens qui se sont emparés de leurs récits de vie comme d'un texte de théâtre.
Donc juste le souligner les places sont chères, oui mais Le Lucernaire produit les spectacles à 50/50, que ce n'est pas un Garage comme presque tous les autres lieux à Paris. Ils reçoivent des centaines de dossiers par mois.

à pied à vélo : expos

Expos Fragonard
à partir du 3 octobre

et Courbet
à partir du 13 octobre au Musée du Grand-Palais.

et et la NUIT BLANCHE de l'art contemporain conceptuel, tout le long de la ligne 14 ouverte toute la nuit, alors ce sera la fête de l'art contemporain conceptuel, tout le long de la ligne 14 ouverte toute la nuit… les Vélib’s seront tous en balade et alors Monsieur DELANOE : superficiel, vitrine...

Rien n'est simple et moi je crois que c'est un homme civilisé... avec qui je préfèrerais aller faire la fête qu'avec S......

à la cuisine

Recette de gâteau au chocolat...
Préparation : 20 mn
Cuisson : 45 mn

Ingrédients (pour 4 personnes) :

- 100 g de farine
- 100 g de beurre
- 1/2 litre de lait
- 5 oeufs
- 125 g de chocolat
- 100 g de sucre semoule


Préparation :

Faire bouillir le lait et le chocolat en remuant de temps en temps pour faire fondre celui-ci.
Mettre le beurre dans une assez grande casserole(vous allez y verser ensuite le 1/2 l de lait chocolaté). Dès qu'il est fondu, ajouter la farine. Faire cuire quelque minutes en remuant avec une mouvette en bois (cuillère en bois). Lorsque le mélange devient mousseux, ajouter le lait aromatisé par petites quantités, sans cesser de remuer.
Ajouter ensuite le sucre, puis laisser refroidir légèrement. Séparer les blancs des jaunes d'oeufs. Mettre alors les jaunes d'oeuf un par un, et terminer par les blancs battus en neige ferme.
Verser la préparation dans le moule beurré et mettre sans attendre dans le four chaud (thermostat 6/7 - 200°C).
Servir aussitôt à la fin de la cuisson.
Alors là je précise que c'est pout le gonflé le soufflé qu'on peut le servir chaud immédiatement.
Mais au frigidaire et servi le lendemain avec ou sans crème anglaise, c'est dégonflé mais encore meilleur car très moelleux.
La photo ce sera pour le prochain gâteau.
La recette d'origne je l'ai prise sur marmiton.org bien-sûr.

Et vos commentaires ?

Sur mon urgent besoin de créer et de jouer : des idées ?

dans le meilleur fauteuil, dans les transports en commun : lire

À ce propos un dernier extrait des mémoires de Noiret vous aurez peut-être ?
- encore...

Et le dernier Modiano : Dans le café de la jeunesse perdue
chez Gallimard


La sélection en attendant de mon amie libraire - la bâtarde d'Istanbul de Shafak Elif chez Phébus, le rapport de Brodeck de Philippe Claudel chez Stock et la fille des Louganis (avec une critique très attiédie) de Métin Arditi chez Actes Sud...
et une autre amie m'a recommandé absolument un roman hongrois : La Tranquilité d'Attila Barthes chez Actes Sud.

dans le journal ou sur nos corps de femmes

Et regardez sur le dernier Le Monde : Prêt à porter printemps été 2008 une robe (il faudra voir sur le journal lui-même du 5/10/2007 car sur Internet ce n'est pas la même photo) de JPG vous avez compris Jean Paul Gauthier, que ce n'était pas là, dans mes moyens mais sa source des mélanges peut m'inspirer chaque jour... Et puis à la période des Soldes, un petit haut...

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