jeudi 7 avril 2022

En corps et Saison 2 d’En Thérapie et OVNI (S)

En corps : Bon,  nous aussi nous sommes arrivés en retard mais en semaine et l’après midi dans la très grande salle du Gaumont Convention, elle n’était pas pleine mais nous avons quand même dérangé un plus vieux que nous plaçé devant et qui a même changé de rangée au cours du film mais pas sur la scène de danse introduction comme pour les séries, avant générique. En sortant nous aussi avons ri(et c’est pour cela que le plus vieux de devant s’est déplacé) nous étions conquis et pas les seuls au point de se parler entre spectateurs. C’est un film qui rend simple l’accès au corps et à l’action de bouger vers ses rêves. Denis Poladylès est excessivement juste dans ce père taiseux et contrariant sans même y penser. Les danseurs de hip-hop, de danse contemporaine et ceux de classique sont hors clichés comme « le tutu c’est cucul…. » et vous serez convaincus par les intervenants chorégraphe et danseurs. Les marivaudages peuvent agacer les taiseux et contrariants en matière de sentiments mais bon pas
nous deux.


Encore En corps : pour la danse et l’amour où il y a des moments inoubliables. Recommandé par ma prof de yoga et une copine de yoga, mon compagnon avait quelques doutes car il me dit souvent qu’il n’aime pas
les ballets….sauf, je ponctue à chaque fois, dans le film « Pina » de Wenders sur les ballets de Pina Bausch…,.

En thérapie 
Saison 2 
J’ai toujours beaucoup aimé cet acteur qui n’a pas cessé d’arriver en douceur d’abord par sa voix et dans tous les rôles. Et à sa suite tous les personnages entrent dans notre vie du petit garçon un peu gros qui s’installe dans toutes les poches pour être encore plus mal mais pour tout ressentir et comprendre et aimer des autres la surtout de ses parents en train de divorcer au sein du croisement de l’ambivalence des sentiments qui pourtant n’empêchent pas d’aimer….
Et puis il y a l’avocate et la jeune fille architecte en devenir et qui ne veut pas soigner son cancer…car c’est rien à côté de son petit frère Noah autiste….
Et puis un procès où l’on en comprend un peu plus sur Philippe 
Quand je suis allée en séjour en HP à Sarlat par hasard c’est toujours un hasard au début…. Il y avait un infirmier qui ressemblait dans l’énergie le sourire le regard la voix au personnage interprété par Frédéric Pierrot. Et donc un jour que j’étais en hippoglycémie grave, il m’a faite entrer avant tous à la cantine et m’a donné du pain et du potage ce que je préfère au monde hors les
Sucreries…. Et m’a dit en souriant voilà je t’ai sauvé la vie. 








Maintenant avec cette série avec tous les personnages dont les deux psys vous comprendrez à quel point certains psys peuvent vous sauver et sauver vos enfants sans les juger et en les laissant prendre leurs vies en main. Alors qu’ils étaient coincés dans une impasse.
OVNI(S)
Et OVNI(S) LA SAISON 2 vous avez regardé ?c’est inouï inoubliable drôle inventif extrêmement bien joué par tous enfants y compris…. Sur Arte TV sur Canal + 

Art du Monde (abonné)CULTURE
« Ovni(s) » saison 2 : sur la piste aux étoiles
De retour sur Canal+, la série créée par Clémence Dargent et Martin Douaire n’a rien perdu de son charme extraterrestre.

Par Thomas Sotinel
Le 21 février 2022 à 18h00 - Mis à jour le 01 mars 2022 à 14h54.Lecture 3 min.
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Le professeur Didier Mathure (Melvil Poupaud), au centre, dans la saison 2 de la série « Ovni(s) ».
Le professeur Didier Mathure (Melvil Poupaud), au centre, dans la saison 2 de la série « Ovni(s) ». CANAL+
L’effet de surprise est passé, mais l’accoutumance ne se fait pas encore sentir : le ravissement psychédélique que suscite Ovni(s) est aussi puissant à la deuxième saison qu’à la première. On s’est fait à l’idée que le titre qui coiffe les (més) aventures du professeur Didier Mathure (Melvil Poupaud), physicien au Centre national des études spatiales sous Valéry Giscard d’Estaing, désigne moins le sujet de la série que sa nature. Cette drôlerie constante qui jamais ne s’exerce aux dépens des personnages, ce recyclage d’une esthétique désuète à des fins purement ludiques et jamais parodiques, cette précision dans le déploiement d’un univers qui largue une à une les amarres avec la réalité – si on les aperçoit volant en formation, on a tout de suite envie de prévenir les autorités.

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En ce début de deuxième saison, l’équipe du Gepan (Groupe d’études des phénomènes aérospatiaux non identifiés) que dirigeait Didier Mathure s’est défaite. L’institution, département du CNES destinée à ramener les observateurs d’ovnis à la raison, est repassée sous le contrôle d’André (Jonathan Lambert), l’amant disparu de Marcel (Michel Vuillermoz), qui avait refait surface in extremis en fin de première saison. Le couple ainsi reformé s’est rangé sans ambiguïté du côté du scepticisme.

Convaincu d’avoir vu un ovni sur le plateau du Larzac après avoir pris, à son insu, du LSD, Didier Mathure sillonne désormais la France à bord d’un minibus Volkswagen en compagnie de Véra (Daphné Patakia), l’imprévisible collaboratrice du Gepan, dans l’espoir de réunir des témoignages démontrant la réalité de visites extraterrestres. Rémy (Quentin Dolmaire), l’informaticien du Gepan, qui aime Véra mais l’ignore, a trouvé un emploi dans ce qui s’appellerait une start-up si le terme avait déjà été inventé, et s’apprête à épouser Véro, une fille normale. Pendant ce temps, Elise (Géraldine Pailhas), l’ex-épouse de Didier, a pris la tête du CNES. Tous les personnages sont donc engagés dans des versions différentes de la comédie du remariage, cette réconciliation relevant pour les uns de l’illusion, pour les autres d’un horizon qui recule sans cesse.

Inventions oniriques

Dans Ovni(s), le marivaudage s’installe dans des espaces dont il n’est pas familier, comme cette centrale nucléaire dont la mise en service est retardée par l’apparition d’une imposante masse de barbe à papa rose. On se souviendra que l’un des phénomènes aérospatiaux non identifiés de la première saison était un flamant de la même couleur, et l’on croisera également un porcelet sympathique – parmi les nombreux reproches que l’on ne peut pas faire aux créateurs, scénaristes et réalisateur, il y a celui de l’incohérence.

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L’énergie dépensée par les personnages dans leurs entreprises amoureuses nourrit également leur quête cosmique. On se souvient, si l’on a vu la première saison (et dans le cas contraire, il faut s’y mettre tout de suite, impossible de plonger directement dans ces nouveaux épisodes), que les extraterrestres qui avaient établi une communication avec la Terre ou, plus précisément, avec le Gepan, ressemblaient furieusement à des Inuits. On en saura plus sur cette connexion, pendant que, dans le même mouvement, Ovni(s) en établit une autre, avec les réfugiés de ces années-là, ceux qui fuyaient l’Asie du Sud-Est après la débâcle américaine au Vietnam.

Le travail des créateurs de la série, Clémence Dargent et Martin Douaire, trouve sa matérialité dans la mise en scène précise, burlesque et charmante d’Antony Cordier
Clémence Dargent et Martin Douaire, les créateurs de la série qui ont reçu le renfort de Maxime Berthemy au scénario, ne forcent pas la métaphore. Ils se contentent de laisser deviner la permanence de notre monde sous les chatoiements de leurs inventions oniriques, un travail qui trouve sa matérialité dans la mise en scène précise, burlesque et charmante d’Antony Cordier.

Quant à l’incarnation de ces doux délires, elle est désormais familière. On sait désormais que Melvil Poupaud sait jouer des quarts de seconde (surprise, affliction…) comme, jadis, Cary Grant (et que Géraldine Pailhas peut poser sur lui le même regard de désir et de commisération qu’Irene Dunne sur son partenaire), que Quentin Dolmaire et Daphné Patakia font un couple qui pourrait se chercher encore pendant de longues saisons… A ce propos : la conclusion de celle-ci peut se prendre aussi bien comme un épilogue que comme un nouveau départ.




1 commentaire:

Anonyme a dit…

l'amour est au-dessus de tout et est le chef de toutes les bénédictions, dit-il : bien que la prophétie cessera, et que les langues se tairont, et que la connaissance sera abolie... ces trois demeurent : la foi, l'espérance, l'amour ; mais l'amour pour eux ressemble plus à ce qui se passe dans https://filmstoon.tube/arts-martiaux/ les films...