lundi 4 juin 2007

Danse, dansez sa vie, le jardin suspendu du langage










C'est terminé, comment je suis arrivée là ? par le hasard d'une amitié estime, volatile légère, avec une comédienne d'un ancien atelier : elle est Roseau, danseuse de la Compagnie éponyme.
C'était parfait, compagnie amateur ? Compagnie mystère, une des danseuses est chorégraphe.

Mon amie Roseau nuage frimas aube et soleil, quand vous la voyez danser, c'est... déjà dans la vie et sur scène quand elle jouait que du théâtre, je me demandais tout le temps mais qu'est- ce qu'elle a donc de plus...

J'avais conclu au hasard, (décidément il a bon dos le hasard !) la présence.

En fait, j'étais pas loin car la présence c'est aussi celle du corps tout entier. Elle et les autres, sur des variations singulières, sur une chanson d'Émilie Simon, un peu comme Decouflé sur C'était bien-"Au petit bal perdu" ) Danses modernes ! on glissait d'un univers à l'autre, de sensualité pour pas dire de langage du corps au visage ; lui, restait comme à la fois rigide et transparent.

Et après l'avoir vue danser, on a l’éveil, le désir de bouger, de danser soi, sa vie, son pas. Mais elle m’a dit que c'est déjà à 4 ans qu'elle prenait des cours de danse libre à ce même C.I.S.P.M Maurice Ravel où les familles viennent en famille voir les grandes danser.

Je suis une touriste de la Danse, et ces virées là, me sont des plus agréables. J'ai vu quelques monuments Pina Baush Gallotta...
Je me demande si les professionnels de la danse s'intéressent aux autres danseurs que les leurs... ou alors sinon depuis peu...


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