vendredi 26 septembre 2008

J'annonce juste : Oui "Parlez-moi de la pluie" et JMR au Rond-Point, une expo : Nolde

Existent des cafés Philos, et je me disais en passant pourquoi pas des cafés à la flamande où l'on se retrouverait pour discuter de la Cité, là plutôt avec les artistes, là avec quelques adeptes de la magie, des chiffres , de la sorcellerie, des cafés où ce ne serait pas très beau "soit disant" et très cher... au lieu de passer à la télé pour "soit-disant" discuter...

Ah oui un article sur ce Monsieur Jean-Michel Ribes, dans l'Express, avec vidéo...

Directeur du théâtre du Rond-Point depuis bientôt sept ans, Jean-Michel Ribes a transformé ce lieu, qui était devenu une sorte de mausolée, en un carrefour artistique en mouvement permanent. Théâtre en tous genres (le bon et le mauvais), livres à la page, restaurant, lumières, couleurs, musique... un univers inespéré de ce côté élégant des Champs-Elysées.

Jean Michel Ribes et ses paperasse. Des paperasses très organisées...
Quant au bureau du patron, situé sur la façade de l'ancienne patinoire, il est composé de la réunion des loges de Madeleine Renaud et de Jean-Louis Barrault, prédecesseurs pas si lointains du créateur de Palace et autres joyeusetés. C'est un petit bureau aux murs blancs, lumineux et amical, à mille lieues de toute nostalgie malgré les nombreux objets et tableaux souvenirs qui évoquent les amis présents et absents. Visite guidée en bonne compagnie.

J'ai aimé le dernier film "Parlez-moi de la pluie" des "Bacri Jaoui", en me débarrassant de ce que j'avais pu entendre
et pas non plus, pour récupérer à tous prix, comme un enfant mort né, tué à la naissance par trop de promesses,
comme l'ont fait certains critiques ex: ceux du Cercle, sur Canal +, bonne émission au demeurant. Trop de promotion et puis plus rien : "c'est nul, vous savez ! Télérama n'aime pas ..."
C'est un film délicat, c'est un film comme un animal de compagnie, il entre de plus en plus dans votre intimité, à petits pas et avec lenteur senteur et odeur, avec délicatesse...
La musique y est fine comme les bandes sons des spectacles de fin d'année des ateliers d'élèves de Philippe Person, les musiques ne soulignent pas, elles sont là comme un autre personnage qui s'exprimerait en musique, une sorte de Mister Loyal et on peut aussi ne pas s'en souvenir.


À propos de Zizique
Zaza sort un disque... voir sur rubrique Musique, ici, cherchez que diable, ZAZA FOURNIER.

DES TITRES DE ROMANS auxquels vous échappez :
on achève bien par la faim
la faim retrouvée
le poids des ans
le poids de l'âme sur les os
le poids des rêves est anormalement petit ou grand voir infini...

je me dis que j'ai encore des choses à xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx écrire
à dire sur ce sujet là dans notre pays en crise

sur les branques, les névrosés courants, les perdus, les perdants qui traversent toutes les épreuves pour se retrouver un soir au resto, pour une aventure avec une "passante"
des maladroits
pas des héros mais des zéros qui nous donnent envie de regarder l'infini en fermant les yeux....
comme dans le film... tellement qu'on ne s'ennuie jamais avec leur cœur rutilant

à demain car je dois ce jour aller au bourreau.... bureau !

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