Donc là devinez, je suis assistante intermittente de notre nièce, pour le spectacle,
c'était elle la princesse et moi le Papi...
Bonne année 2008
-malgré tout !
-et pourquoi pas ?
-et tant de questions restent en suspens...
Je sais, mais amusez-vous partagez et laissez en pour les autres.
Laissez leur le temps du repos, du replis, du chagrin...
Ne pas tirez sur la tige, la fleur, la plante pour qu'elle grandisse.
-Personne n'a plus de temps... -Il y a des gens qui en ont trop pour plus rien...
Laissez- voler les papillons, même s'ils sont inconnus.
Surtout ayez-envie
A toi, mon Théâtre.
Et là c'est sur Fluctua Net ...
avec Webthea, je trouve beaucoup de renseignements comme vous avez pu remarquer, quelquefois je suis plus rapide par ex pour le stage de Rabeux, je vous en redonne leur teneur...
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Lagarce, l'intime et le monde
Posté par Nedjma le 21.12.07 à 11:28 | tags : théâtre
On en avait découvert quelques pages, en mars dernier, dans Une vie de théâtre à Théâtre Ouvert. Laurent Poitrenaux incarnait Jean-Luc Lagarce , et François Berreur signait la mise en espace. C'était drôle et déchirant, intelligent et saisissant, c'était l'intime et le monde. Pendant 18 ans, Jean-Luc Lagarce a noirci des petits carnets, consignant ses histoires d'amour, ses histoires de théâtre, son avis sur le monde et sur la vie qui passe. Une écriture spontanée et permanente. Lagarce avait commencé à retranscrire ces écrits à la machine. Il aura résumé neuf cahiers. Grâce au boulot titanesque de François Berreur, compagnon de toujours, les cahiers suivants ont été retranscrits. Le journal est édité, en deux volumes, par la maison qu'il avait fondée.
Le premier volume, qui vient de sortir couvre les années 1977 à 1990. Le second, consacré aux années 1990 à 1995 -date de la mort de Lagarce- paraitra en mars. Olivier Py, qui avait dédié ses "Illusions Comiques" au "poète mort trop tôt", alias Lagarce, signe la préface du livre. "Il faut lire ces pages comme l'incessant souci de sauver la dignité d'une génération perdue", y écrit-il. Un témoignage immanquable et poignant qui vient clore la belle année Lagarce. Spectacles et expos, rencontres et publications: un hommage vivant, par ceux qui l'ont connu et la jeune génération, qui s'en est joliment emparée.
Journal 1977-1990 de Jean-Luc Lagarce, aux Solitaires Intempestifs.
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