lundi 7 septembre 2009

Théâtre : la rentrée sera joyeuse

Sur le Parisien(19/06/09), article qui date mais signifiant par exemple sur la fréquentation des théâtres privés qui contrairement à celle des festivals, baisse.
Article que j'ai retrouvé en faisant du ménage, dans mes mails : Alertes Google, recommandé par mon chéri,
et qui me laisse à penser par son titre... la rentrée sera joyeuse.
un peu comme certains titres à contre courant de l'Équipe.
J'ai entendu dans une assistance comme celle, pour un pot pris dans les bureaux, j'ai entendu dire à propos... "quelqu'un qui ne lit pas l'Équipe me parait suspect" cet homme là est responsable d'embauches..."
Il faudrait savoir ce qui se cache derrière cette phrase... Il faudrait que je vous en dise un peu plus sur la psychologie du personnage...
Un titre à contrario, à contre-courant, un raccourci une figure de style : quoique là cet exemple est mal choisi... un titre pour se faire l'avocat du diable, une provocation ? si c'était à mon encontre, il est mal tombé, je lui ai répondu sur le même ton, avec le même sourire, que je n'étais pas loin de penser comme lui...
C'est un manière de se protéger des provocateurs à l'autoritarisme affiché et suivi d'effets...
Mais en plus j'aime le football, je ne suis pas une lectrice de l'Équipe, mais à priori, j'en préfère les titres que ceux de la Tribune. Et souvent les journalistes sportifs me semblent plus singuliers et passionnés par leur sujets que d'autres.


"Théâtre : la rentrée sera joyeuse
Les théâtres parisiens misent sur les comédies pour la prochaine saison. Vous pouvez déjà réserver pour le duo de « folles » Clavier-Bourdon ou Michèle Laroque en divorcée.


Le théâtre n’échappe pas à la crise : si le public des salles parisiennes est resté stable en 2008, avec plus de 3,4 millions de billets vendus, la fréquentation est en nette baisse depuis le début de l’année, a admis hier le Syndicat national des directeurs et tourneurs du théâtre privé. Du coup, les salles se sont donné le mot pour la rentrée : priorité aux comédies, le public ayant plutôt envie de se distraire, et aux têtes d’affiche. Voici les pièces les plus attendues. Pour la plupart, les locations sont déjà ouvertes.

Vivement « la Cage aux folles » ! Ce sera l’événement de la rentrée théâtrale du côté de la comédie. Didier Bourdon et Christian Clavier reprennent les rôles tenus par Michel Serrault et Jean Poiret, il y a trente-six ans. Grâce à cette nouvelle mise en scène signée Didier Caron, c’est toute une nouvelle génération de spectateurs qui va pouvoir découvrir cette pièce culte.
Apartir du 12 septembre à la Porte-Saint-Martin.

Arditi fidèle au poste. On ne change pas une équipe qui gagne. Pierre Arditi garde sa loge au Théâtre Edouard-VII : après « Faisons un rêve », de Guitry, l’acteur enchaîne avec « Sentiments provisoires », toujours mis en scène par Bernard Murat. Un trio amoureux où il donnera la réplique à deux autres grands : Sylvie Testud et François Berléand.

A partir du 8 septembre au Théâtre Edouard-VII.

Michèle Laroque seule en scène. Spectatrice d’une pièce à Londres, emballée par ce qu’elle a vu et entendu, Michèle Laroque a décidé d’amener « Mon brillantissime divorce » à Paris. Seule en scène au Palais-Royal, elle va jouer ce monologue écrit par Géraldine Aron, l’histoire d’Angela Dupuy-Lévy, récemment plaquée, qui se demande bien pourquoi.
A partir du 22 septembre au Palais-Royal.

La valeur montante de la comédie. Sébastien Thiéry a connu un succès, mérité, cette saison au Théâtre Hébertot avec « Cochons d’Inde ». Il livre à la Madeleine une nouvelle comédie absurde qui promet : « Qui est monsieur Schmitt ? » L’histoire d’un couple dont le dîner tranquille, dans leur appartement, est compromis par des événements étranges. A l’affiche, l’auteur lui-même, mais aussi Richard Berry et Raphaëlline Goupilleau, partenaire de Line Renaud dans « Très Chère Mathilde ».
A partir du 15 septembre à la Madeleine.

Rire avec Shakespeare. Non, William Shakespeare ne s’est pas cantonné aux drames amoureux. Il a aussi écrit « la Nuit des rois » que met en scène Nicolas Briançon avec une distribution riche, dont Sara Giraudeau, Arié Elmaleh et Chloé Lambert. Au douzième jour de fête, les sentiments s’emballent et les êtres laissent entrevoir ce qu’ils ont toujours caché.
A partir du 5 septembre au Comédia.

Le jeu de la vérité… Les théâtres se battent pour les pièces d’Eric Assous, auteur des phénoménales « Belles-Soeurs ». Le Théâtre de l’Oeuvre l’emporte avec « l’Illusion conjugale », mise en scène par Jean-Luc Moreau, qui joue aussi dans la pièce, avec la délicate Isabelle Gélinas et José Paul. L’histoire d’un homme et d’une femme mariés qui décident de s’avouer leurs petits écarts, mais toute vérité est-elle bonne à dire ?
A partir du 21 août au Théâtre de l’Oeuvre.... (fonction du succès du précédent spectacle Le jour de l'Italienne, ou bien est ce une erreur du jour nal, la date de la première est repoussée au 22 septembre.)

… ou du mensonge.
Le duo Assous-Moreau se remet à l’ouvrage au Saint-Georges (qui avait accueilli les « Belles-Soeurs ») avec « Les hommes préfèrent mentir ». François-Eric Gendron signe à nouveau un spectacle en compagnie d’une distribution nombreuse (Véronique Boulanger, Ariel Wizman, Cyrille Hédin...). « Lâchetés, mesquineries, mensonges et coups bas » au programme.
A partir du 4 septembre au Théâtre Saint-Georges."

**************************************************************************************

Donc pour rire et sourire aussi autrement, je vous ai réservé « la Trilogie de la villégiature » de Goldoni au Théâtre du Nord Ouest, ce théâtre est parallèle comme un peu le Lucernaire, ils ne donnent pas plus d'ailes à des acteurs comme Arditi Berléand et/ou Clavier-Bourdon dans la Cage aux Folles mais vous transportent dans des lieux de théâtre où vous pouvez découvrir d'autres formes plus étendues par le choix et le non joyeux à tout prix, et plus restreintes par les moyens, mais pas cadenassés dans les genres et la démagogie. Où aller pour voir toutes sortes de théâtre des classiques des créations des auteurs contemporains...
Ces théâtres sont fragiles mais vous en saurez plus bientôt sur le Lucernaire
et vous verrez une très belle vidéo, pour moi aussi, avec des déclarations de Laurent Terzieff de Marie-Christine Barrault et de Philippe Person et d'autres dont des anonymes du public.

Aucun commentaire: